Bonjour, un petit article hors sujet, parce que c'est bien beau de s'exstasier sur la beauté du Japon et tout le Tralala mais il faut pas oublier que le Japon traverse une très mauvaise passe. Je ne viens pas passer un message à la con genre "Ecri sa sur tn blog si tu souti1 moralman le japn et lé famil dé sinistré'. Non, je propose mon aide, la votre aussi. Bon, je sais bien que je vais pas révolutionner le monde, surtout pas avec mes petits bras attrofiés, je sais bien que le Japon ne sortira pas de cette mauvaise passe grace à moi, mais si je peux apporter une petite aide, alors j'en serais ravie. Donc voici mon idée.

 Pour une fois je ne vais pas raconter de conneries sur mon blog. Personne ici n'ignore ce qui se passe au Japon, même le dernier des arrièré, donc c'est pour dire. Or, je vois beaucoup de gens s'organiser pour faire des dons. Ventes aux enchères de dessins, de livres etc. Et là, je me suis demandée "Qu'est-ce que tu sais faire dans ta vie Fanny qui pourrait aider les Japonais ?" Et j'ai automatiquement pensé "Pâtisserie". Donc j'aimerais savoir si quelques uns d'entre vous seraient interréssé pour m'aider à monter cette petite idée et la rendre concrète. Ne vous inquiètez pas, je me chargerais de la partie confection et tout l'argent gagné serait reversé à la croix rouge (Je paie moi même les ingrédients). Donc voilà comment je vois les choses.

- Je peux faire toute sortes de patisseries, mais le plus mieux serait de petits sachets de biscuits simples style Macarons/sablés/cookies car plus facile à vendre/envoyer.

- Je ferais du petit/moyen conditionnement pour les vendre pas cher et permettre à tout le monde de participer à son échelle.

- Donc je cherche quelqu'un pour m'aider à concrétiser ça, qui puisse m'aider à promouvoir l'idée, à collecter l'argent etc etc ou même quelqu'un qui pourrait simplement faire de la pub.

- J'ai du temps et le travail ne m'effraie absolument pas alors bon, on peux compter sur moi.

- Comme expliqué plus haut, tout l'argent gagné ira à la croix rouge. Je ne toucherais pas d'argent, pas même pour rembourser les fournitures en ingrédients de base. Je suis même prête à utiliser deux ou trois de mes précieux emballages choupinous Japonais.

- J'envisage une forte probabilité de pouvoir envoyer les biscuits dans toute la france pour élargir mon champs d'action, mais faudra trouver une façon d'envoyer des biscuits pour pas que les gens les reçoivent en poudre.

- Je pourrais prendre des commandes de gâteaux spéciaux, mais que sur grenoble et environs parce que envoyer un Trianon à l'autre bout de la france c'est moyen.

 Donc y'a-t-il quelqu'un dans l'assistance qui serait prêt à faire de la pub/participer, que ce soit en m'aidant (pas à la confection (enfin sauf si vous voulez hein)) d'une façon ou d'une autre, en me proposant des idées, que ce soit de gâteaux, de démarches ou même de trésorerie ou même si vous pensez que la croix rouge ça crains et que telle association est bien mieux, quelqu'un qui veuille se goinfrer de biscuits et sentir qu'il est utile alors n'hesitez pas à me joindre, sur mon adresse mail Dubitatifl@hotmail.fr ou sur ce blog. Bientôt vous aurez des nouvelles.

Merci bien.

(Un exemple de ce que ça pourrait donner)

(Pareil)

(Toutes les photos de cet articles m'appartiennent et j'aimerais ne pas les voir ressortir nulle part. Donc sauf si vous voulez faire la prom de mon projet, merci de ne pas les prendre, sauf en demandant très gentillement)

Article écrit un peu fatiguée et en écoutant "Marbre fou vision d'enfer", autant dire que je ne suis pas au top de mes capacités naratives.

Mardi c'était donc notre dernière journée à Tokyo, on avait prévu Odaiba, la bien connue, presqu'île de tokyo, un peu comme si on se gardait le meilleur pour la fin. Je me rappelle que je voulais faire la grande roue pour voir tokyo de haut, Kizuko m'avait dit qu'ils prenaient une photo à la montée et qu'elle avait du la racheter de peur qu'ils en fasse quelque chose (mais quoi ? Mystère). Donc ça m'enchantait moyen de me faire tirer le portrait comme une couillonne de touriste. M'enfin,j'étais motivée et...Au moment de partir....

"Bonjour Fanny ! Je suis un virus ! Je vais m'installer en toi et t'empécher de faire des trucs cools ! A plus !"

Hahaha, eh oui, j'étais malade, et comme je ne voulais pas risquer de choper une maladie plus grave encore je décide de rester à la maison, de beaucoup m'hydrater comme dirait Mari-san pour bien faire pipi (D'ailleurs Savez vous que Pipi se dit Pipi en Japonais ? Merveilleux) Aya part à Odaiba toute seule et m'envoie quelques photos. Je décide d'aller me coucher parce que pas sortir me déprime et que le dernier jour pue sacrément. Je me fais réveiller au bout d'un moment par quelqu'un qui frappe à notre porte. O.O' J'ai peur, je suis toute seule, je sais pas parler un mot en Japonais à part "Machin wa doko desu ka" (Ou est Machin ?)  donc je décide de pas répondre et au bout d'un moment la dame repart. J'envoie aussitôt un mail à Aya "Elles me poursuivent, elles savent ou je me cache.." Je lui explique la situation et elle me réponds Naturellement "Donc...Si je résume...Tu n'as pas ouvert ?" "....Non...." "CRETINE !" Finalement, on ne saura jamais qui a frappé à notre porte O.O'

Donc finalement après quelques heures et des péripéties avec un homme qui chante dans les buissons (me demandez pas de quoi il s'agit je sais pas non plus) Aya rentre à la maison, il est tard, il fait nuit. On descends faire le manger et on donne rendez vous à Yoshie. En bas toutes les filles sont super triste d'apprendre qu'on part le soir même. Je discute un peu avec Yoshie dans un anglais approximatif. Je lui explique encore deux ou trois trucs sur la france, Aya lui parle de Pi (Oui encore, que voulez vous, Aya fait une fixette), on reparle de Gackt qui est décidément, qu'on le veuille ou non, une source de discution intarissable. Je ne sais pas comment dire "botoxé" en anglais donc je me tire tout les traits du visage ce qui a pour don de bien faire rire Yoshie et de me causer des rides irréparables (Paix à ma peau). On rediscute de Rilakkuma, mais si, rappellez vous, notre adorable ourson tout mignon qui nous accompagne dans nos aventures depuis le début.

On en apprends plus sur sa lignée, sa soeur qui s'appelle "Ko-Rilakkuma" (soit "Enfant Rilakkuma") et son pote le piaf jaune appellé Kiro Tori (Soit "Oiseau Jaune" on remercie les créateurs Japonais pour leur inventivité) Elle nous raccompagne dans notre chambre et nous offre deux trucs. Un sac à poids pour faire les course qu'apparement tout le monde a à la Guest House et un porte clef de Ko-rilakkuma (la petite soeur de Rilakkuma si vous avez bien tout suivit)



Je laisse le choix à Aya elle décide de garder le strap Ko-rilakkuma, je gagne donc le Sac avec lequel je fais à présent mes courses !



Aya décide d'aller faire des courses au combini et je lui propose de l'accompagner, je ne suis pas sortie de la journée et ça me fais un bien fou ! Alors du coup, il fait bon, j'ai une sale tronche, j'en profite pour embrasser le sol en bas de notre Guest House.

J'étais malade, j'avais un sale vieux look (avouez quand même que veste leopard+tee shirt Sex pot+pantalon visu+grosses bottes on a déjà vu plus classe) Je suis à peine maquillée mais c'est pas grave, je me dis que après tout, c'est la dernière soirée et puis, hoho, j'ai combien de chance pour que "Beau sourire" me voit fringuée comme ça ? Ohohoho ~

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Eh bien devinez quoi, qui était à la caisse du combini ce soir là ? BEAU SOURIRE ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Mais pourquoi ! Dieu pourquoi ! Pourquoi, c'était le dernier jour, il aurait pu me laisser en paix, me dire "D'accord, plus de malheurs pour ce soir" Mais là je me trouve, pas maquillée, avec une sale tronche juste devant LE beau mec du quartier (Bon, selon Aya y'a aussi "Beau blasé" mais "beau blasés est pas gentil alors bon) j'ai envie de pleurer alors je fais vite vite mes achats, je vois qu'il n'y a que le gros moche à la caisse et que Beau sourire fait du magasinage (qu'ils sont polyvalents ces ouvriers Japonais quand même !) Alors je me dis "C'est le moment ou jamais ma vieille ! Passe au gros moche comme ça tu n'aura pas la honte de ta vie" surtout qu'il y avait pas de clients dans le combini. Je prends mon panier, m'avance vers la caisse du gros moche avec un sourire de satisfaction non dissimulé et là...C'est le drame...A coté de moi passe à toute vitesse, manquant de se vautrer dans les cartons, beau sourire, ce con nous dépasse, et va se caller à une caisse après le gros thon, avant que le moche ait le temps de dire quoi que ce soit il décroche un resplendissant "Dozô !" ("Je vous en prie") avec un sourire dont seul beau sourire est capable. Avec Aya on se regarde un peu incrédules. "What..What the helll ? O.O" Donc on s'approche et je lui tends mes articles, il est litéralement ravi de nous servir, je laisse Aya chercher la monnaie dans le porte monnaie, aya me dis "Souris lui mais souris lui" Je réponds "C'est ce que je fais mais il sourit trop ce con, il m'intimide !" (Ah les joies de parler dans une langue incompréhensibles pour eux) Finalement on finit de payer, j'ai mal aux coins de la bouche tellement je souris et on ressors du combini. Dès qu'on franchit la porte il se penche sur le comptoir et nous dis "Bye bye !" en secouant la main. Avec Aya on se retourne un peu comme des connes, c'est juste trop mignon, on repars en Kyatant. Aya est persuadée que j'interresse Beau Sourire, parce qu'apparement il ne sourirait comme ça qu'à moi. Si vous me connaissez un tant soi peu vous devez aussi connaitre ma légendaire confiance en moi. Donc je nie tout en bloc. On se retrouve dans la chambre avec Aya et on discute un peu, j'avoue être un peu triste de quitter Tokyo, surtout que je réalise pas encore, Tokyo, ah, Tokyo mon amour comme dirait le livre mais avec Hiroshima.

Finalement je dis à Aya que j'aimerais bien essayer d'avoir le mail de Beau sourire. Je profite de ce sujet pour faire un apparté "Romantisme Japonais" Ah~ Ces Japonais, lorsqu'il s'agit de romantisme. Sachez, mesdames, qu'ici, les hommes ne sont pas galants, ouh non, alors certes ils portent les valises lorsqu'on va faire les courses à Shibuya le samedi mais ça se limite là. Parce que oui là bas ce sont les femmes qui font le premier pas, les hommes se contentent juste d'envoyer de gros signes pas discrets. C'est génial hein ? Et comptez pas sur eux pour vous tenir une porte ! 'fin bref. Je voulais essayer d'avoir le mail de Beau sourire. avoir un mail, c'est un peu l'équivalent de "eh mamzelle, t'as un 06 ?" parce que je le rappelle au Japon les Sms n'existent quasiment pas, ils connaissent juste les mails sur les portable, donc chaque portable a son adresse mail. Mais finalement je dis que j'ose pas. Aya Sous entends vite fait qu'elle peut essayer de le faire alors, sans attendre je lui file mon porte monnaie "Va m'acheter des biscuits ! Et ramène moi un mail avec" Je lui promet de lui offrir son coca si elle arrive à le faire et elle part en trainant des pieds.
Je me retrouve toute seule dans la chambre et j'en profite pour finir mes valises. C'est terriblement triste de faire ses valises. J'empile mes achats du mois, beaucoup de trucs pour la patisserie, j'en ai presque la larme à l'oeil, je veux que cette dernière soirée devienne mémorable. Que je puisse m'en souvenir longtemps. Finalement, Aya reviens, je me retourne et vois sa mine toute triste. Je m'apprête à dire "Aaah, tu vois je savais bien qu'il voulait pas me donner son mail !" Mais elle me dit qu'elle a pas osé lui demander parce qu'il y avait aussi le moche dans le magasin. J'engloutis mon poids en biscuit de rage. Je ne peux pas en vouloir à Aya, j'ai pas été capable de faire la moitié de ce qu'elle a fait. Du coup on parle, on discute. On se dit que quitter Tokyo est tellement triste. Je crois que c'est une des villes qui me marquerât le plus dans ma vie, et surement, pour l'instant, celle dans laquelle j'aimerais le plus vivre. On reparle de beau sourire, c'est vraiment une frustration de pas savoir si il m'aurait donné son mail ou non. Alors, Aya, comme poussée par une force mystérieuse (ou moi) accepte de retourner au Combini pour voir, peut être aurat-elle une impulsion, à une condition, que je la suive jusqu'au coin de rue près du combini. Je ressors mes fringues et on repart. Il est 1heure du matin et on est trop pas fatiguées, demain, à 10heures on doit se reveiller pour acceuillir Shota mais c'est la dernière de nos préoccupations.
On arrive devant le combini et je me cache dans tout les recoins, Aya essaie de me faire me rapprocher le plus possible du combini, cette traitresse ! On avait juste l'air trop louches, on rigolais comme des bourrées JUSTE en face d'un Koban (petit poste de police) du coup quand on voyait passer des patrouilles on avait peur qu'ils nous arrêtent pour ivresse sur la voix publique. On reste dehors longtemps, Aya ose pas trop lui demander, elle aimerait lui faire un signe pour lui demander de sortir et lui parler mais cet idiot est toujours avec son patron et ne décroche pas un regard de ses rayons. Au bout d'un moment il commence à passer beaucoup de temps dans l'arrière boutique (Non Emma, pas le même genre d'arrière boutique que Zapatos) Alors Aya désespère un peu, il commence à pleuvoir et on raconte de plus en plus de conneries. Vers deux heures du matin elle peste et dis "Rah mais si il est pas là dans les trentes minutes, je me barre !" Moi je suis toujours planquée dans une petite rue, les clients du combini nous regardent vraiment bizarre, je le soupçonne de vendre la mèche ces cons. Mon nez commence à devenir tout froid et endoloris, je sautille sur place (histoire de pas être encore plus louche) Je raconte à Aya que je peux pas aller lui parler parce que je ne saurais pas demander son mail en Japonais et que tout ce que je pourrais dire c'était "Meeru wa doko desu ka" (Soit "Ton mail, où est-il ?") ce qui n'aurait absolument aucun sens mais qui nous fait bien rire. Imaginez, dans la rue, une caillera vient vous voir "Eh mam'zelle, il est où ton 06 ?" "Euh écoutez jeune homme..." J'aimerais essayer un jour, voir la réaction de la personne en face. Donc bref.
Au bout d'un temps je vois Aya faire un signe à la vitre du combini et elle me dis "Fanny...""Oui ?" "VA T'PLANQUER IL ARRIVE !" Aaaah ! Je cours dans la ruelle comme une couillonne me cacher. Du coup , je me retrouve juste à l'entrée d'un hotel huppé, fringuée avec mon pantalon visu, mes grosses bottes et mon pull dalmatien, il commence à pleuvoir, je stresse, c'est trop l'éclate. Un taxi arrive et s'arrête juste devant l'hotel. Dedans, un homme et une femme classe tout les deux et le mec bloque carrément sur moi. Il me regarde genre "Diantre, que fait cette créature dans ce temple du bon gout ?" Donc je me déplace mais me retrouve nez à nez avec...UN BIDET ! Vous ne rêvez pas, un bidet, en pleine nuit, dans une ruelle, j'avoue que là, j'ai été un peu dubitative et suis restée bête quelques minutes. Est-ce que sincèrement il y a des gens qui se servent d'un bidet en pleine rue ? Finalement, par peur de perdre Aya je reviens un peu dans la ruelle et apperçoit, sortant de la rue du combini et regardant dans ma rue, un type masqué, enfin, un type avec un masque (vous savez, les masques hygieniques, ça a vachement la cote au Japon) Il me regarde, je le regarde et il retourne dans la ruelle du combini. Je comprends pas vraiment mais saurais plus tard qui était ce type, enfin bref. J'attends encore un peu, devant l'hotel il y a toujours ce putain de mec qui me regarde bizarrement, j'ai peur qu'il demande à la sécurité d'appeller de Koban pour me dégager. Alors je vais me planquer derière le bidet (Non, vous ne rêvez pas, je l'ai vraiment fait) en attendant Aya.
Au bout d'un moment elle reviens pas, j'ai peur qu'elle soit morte de honte et je ressors dans la rue. C'est là que je vois Aya....Avec un parapluie transparent (Alors qu'elle en avait pas avant) et une mine toute fatiguée. Je m'approche et m'apprête à nouveau à dire "Aaah, Je sais, il t'as dit non pour moi mais c'est pas grave, tu as fait de ton mieux Aya je t'aime" mais elle me montre son portable. Dessus une vieille adresse avec pleins de "..." Dessus. Je dis à Aya "C'quoi ça ?" "Ben...Son adresse mail ?" OoO Je n'arrivais pas à croire qu'il ait bien voulu donner son adresse mail à Aya pour moi, en plus elle avait bien précisé que c'était pour son amie (moi en l'occurence) et cet idiot de beau sourire à accepté ! J'était dans un étât second, j'arrivais pas à croire Aya. Puis alors je me rappellais de cette chose bizarre sur son épaule...SON PARAPLUIE ! Je lui demande comment elle l'a eut. Elle me dit "Ben en fait il avait fini sa journée et ses potes l'attendaient, quand ils ont vu que je lui donnais un mail, un de ses potes m'a demandé si ça allait pour la pluie, je lui ai dit que ça allait et...IL EST ALLE M'ACHETER UN PARAPLUIE !!!" Donc notons bien, le pote de Beau sourire qui ne connait Aya ni d'eve ni d'adam lui offre un parapluie ! O.O Pays de fous. Finalement Je lui demande si le pote de Beau sourire était mignon au moins, pour elle quoi, mais elle me dit qu'elle sait pas, il avait un masque.
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"UN MASQUE ?" "Oui et ?" "Est-ce que genre il avait les cheveux longs et une casquette ?" "Euh, ouais j'crois... Pourquoi ?" "OMFG ! IL M'AS APERCU DANS LA RUELLE !" Eh oui, en fait, le type masqué n'était autre que le pote de Beau Sourire, donc il m'a vu, donc, j'imagine qu'il est allé tout répéter à beau sourire ce fourbe ! J'ai honte, mais honte, on  peux pas imaginer.
Je remercie Aya un bon millier de fois, je veux lui offrir un curry, son poids en bouffe mais elle me dis "Juste un coca, j'ai besoin de sucre !!!" Donc je lui achète du coca, du chocolat blanc parce que je sais qu'elle adore ça et je sais plus quoi. On rentre dans notre chambre, finalement, on discute encore un peu en mangeant et puis, crevées à l'avance de la journée du lendemain on va se coucher, n'osant pas envoyer de messages à Beau sourire de peur de le reveiller après son travail.

Le lendemain ? Traversée de Shinjuku avec plus de 30 kilos de bagages...LAWL